2 Septembre 2020
Inspirées des feuilletons du XIXe siècle, de Fantômas ou de Rocambole, les aventures du baron Mystère et de son majordome Boule de Gomme mêlent esthétique gothique et humour. Ensemble, ils forment un duo d'enquêteurs drôlatique. Engagé comme majordome par le baron Mystère, obsédé du secret, le jeune Boule de Gomme tente de s'adapter et de faire bonne figure. S'il s'en tient à ses prérogatives, très vite, il note des détails troublants. La nuit, d'étranges allées et venues dans les couloirs font grincer les planchers et claquer les portes mais « La curiosité est un vilain défaut » et tenu par ce principe maternel, Boule de Gomme se refuse à épier par les trous de serrure. Jusqu'au jour où il craque.
Découverte sur Instagram, j'ai tout de suite été séduite par la couverture et le scénario de cette bande dessinée. Vais-je céder, au même titre que d'autres lecteurs, à son humour dévastateur ? Réponse dans quelques semaines...
Envie d'en savoir plus et de parcourir quelques planches ? C'est par ici...
Voilà bientôt dix-huit mois qu’un mal inconnu, la Tox, a frappé l’île Raxter. Dix-huit mois que le pensionnat pour jeunes filles qui en occupe la pointe a été mis sous quarantaine.
D’abord, la Tox a tué les enseignantes, une à une, puis elle a infecté les élèves, dont les survivantes portent désormais ses monstrueux stigmates dans leur chair.
Coupées du reste du monde, cernées par les bêtes mutantes qui rôdent dans les bois alentour et livrées à elles-mêmes, celles qui restent n’osent plus sortir de l’enceinte de l’école. Jour après jour, elles attendent le vaccin que le gouvernement leur a promis.
Hetty et ses deux meilleures amies, Byatt et Reese, se serrent les coudes malgré les privations, bien déterminées à lutter ensemble jusqu’au bout…
Plus glaçant encore que Sa Majesté des mouches, un huis clos féminin et féministe qui a fait frissonner l’Amérique de plaisir !
Alors évidemment, ceux qui me connaissent bien maintenant savent pourquoi j'ai immédiatement été attirée par ce livre. Une île coupée de tout, un mal inconnu, un pensionnat de jeunes filles en quarantaine, bref, une dystopie jeunesse comme je les aime ! Comment résister à ce huis clos alléchant ? Repéré pendant le confinement et récemment acquis après lui avoir tourné autour tel un prédateur avec sa proie, je suis heureuse de le compter parmi cette sortie de PAL. Sera-t-il seulement à la hauteur de mon imaginaire ?
Pour en savoir plus, c'est par ici...
Après une lecture plutôt enjouée du premier tome, je réitère l'expérience zombie auprès d'une Alice badass qui n'a rien à envier à Michonne de The Walking Dead ! Agréablement surprise par le premier opus malgré quelques critiques, je suis curieuse de connaître l'évolution de la jeune femme et jusqu'où la mènera sa quête.
Envie d'en savoir un peu plus sur le premier tome ? Ça tombe bien, j'en ai fait un podcast et voici le lien...
Dans ce court récit, Piedad Bonnett raconte à la première personne le suicide de son fils Daniel, vingt-huit ans, qui s’est jeté du toit de son immeuble à New York. Huit ans plus tôt, on l’avait diagnostiqué schizophrène. Dans un milieu bourgeois, corseté par des conventions en tout genre, il n’est pas de bon ton de parler crûment de la mort et de la folie ; c’est pourtant ce que fait l’auteur, dans une langue sobre et sans effets de manche, avec une sincérité bouleversante. Elle raconte l’incrédulité à l’annonce du suicide, le besoin désespéré de trouver des traces d’une vie personnelle, un journal, des écrits, les étapes de la mort occidentale, mais aussi et surtout le combat inégal d’un jeune homme (et de ses parents) contre la folie qui le cerne.
Gagné lors d'un concours il y a bien deux ans (et encore, je suis généreuse...), j'avais complètement oublié ce récit tant il était perdu dans ma bibliothèque. Eh bien je suis heureuse d'enfin te sortir de mes étagères, petit livre à l'esprit incandescent ! Pourquoi maintenant ? Parce qu'en y regardant de plus près, j'ai réalisé qu'il y avait tout ce que j'aime de la belle littérature : un sujet fort et sensible, une violence des mots et d'une situation. Mon verdict dans quelques semaines.
Pour en connaître davantage, cliquez ici.
C’est l’histoire d’un petit garçon débordant d’imagination qui voue un amour sans bornes à Mary Poppins.
L’histoire d’un père un peu bougon, qui vit seul avec ce fils sensible et rêveur dont il a du mal à accepter le caractère.
D’une institutrice qui s’inquiète confusément pour l’un de ses élèves qui vit un peu trop dans ses rêves.
D’une psychologue scolaire à qui on envoie un petit garçon qui a l’air d’aller beaucoup trop bien.
Quel mystère se cache derrière cette apparence si tranquille, et pourtant si fragile ?
Un roman choral aussi tendre que bouleversant, qui emprunte à l’enfance toute sa sincérité désarmante pour dire l’amour, le vide, le rêve et la puissance de l’imaginaire.
Ma première lecture sur la Kobo ! Pour cette expérience, j'ai choisi un livre qui me tente depuis des mois et qui m'a gentiment été offert par Gaëlle, copine et membre du Gang des Lectrices et dont les avis sont publiés sous le pseudo Gaoulette sur Babelio. Merci donc Gaëlle de me faire découvrir cet auteur dont tu apprécies particulièrement la plume. Serais-je, moi aussi, sensible à cette histoire ? Je l'espère !
Pour en connaître davantage, suivez le guide...
Alors évidemment, ceci n'est pas une course, mais un challenge tout personnel auquel vous pouvez également participer. Qui de vous à envie, comme moi, d'alléger sa PAL ? Qui osera relever le défi ? Commentez, partagez, et n'oubliez pas que la lecture est avant tout une gourmandise !